→ ILS BOIVENT A LA SANTE DES PUTAINS D'AMSTERDAM.

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amsterdam donovan.

AMSTERDAM est serviable et sociable mais aussi susceptible et colérique. Elle est née à Londres (UK) il y a de ça Vingt-et-une années. Ses parents ont décidé de l'appeler Amsterdam Donovan, et elle est britannique. Elle vit à Londres depuis sa naissance et est issue d'une famille moyenne. Cette belle gosse est célibataire et le vit bien. aux dernières nouvelles, elle ressemblerait à Tamsin Egerton. quelle drôle d'idée !

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Impulsive, lunatique, susceptible, fière, colérique, sociable, serviable, intelligente, malicieuse, drôle, immature, tolérante, loyale, bavarde, bruyante, complexe, curieuse, désobéissante, têtue comme une mule.

« Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix. »

- woody allen

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Faisons simple, faisons bref : tu penses quoi de la beatlesmania ? réponse ici, un minimum développer : merci. Je vois. Et donc, c'est quoi ton groupe préféré ? réponse ici, un minimum développer : merci. Tu décrirais notre époque comment ? réponse ici, un minimum développer : merci. C'est quoi la chose qui pourrait te causer le plus de soucis ? réponse ici, un minimum développer : merci.

PSEUDO Aucun. PRÉNOM Ginette. ÂGE Soixante-dix ans. T'HABITES OU ? Au bois de Boulogne. Tu veux visiter ma maison ? TON AVIS SUR LE FORUM J'aime. Rien à ajouter. COMMENT TU L'AS CONNU réponse ici. UN TRUC A AJOUTER ? réponse ici.

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All you need is love. All you need is love. All you need is love, love. Love is all you need.

Le disque tournait. Mon corps, lui, se laissait aller au rythme de la musique. C'était mon moment préféré dans la journée. Celui où je me libérais enfin de tout ce stress. Je n'avais plus à penser à rien. Je me laissais simplement envoûter par les paroles qui sortaient de la bouche de ces quatre hommes. Les Beatles. Ce phénomène mondial. Je n'étais pas une de leurs groupies. Simplement une bonne amatrice de ce genre de musique. Ma chambre regorgeait déjà de posters des Rolling Stones. C'était eux, mon grand amour. Je connaissais leurs chansons par cœur. J'étais donc là, à tourner en rond, les mains en l'air. Je secouais ma tête de part et d'autre. Puis je marquais un court temps de pause durant lequel je remettais mes cheveux en place. Et je repartais de plus belle. Mais mon instant de bonheur fut très vite coupé. Ma mère venait d'entrer précipitamment dans ma chambre. J'eus à peine le temps d'arrêter la chanson qu'elle était déjà par terre, en larmes. « Maman ? T-tu.. ça va ? », dis-je, inquiète. Son souffle était coupé par les sanglots. Elle ne pouvait pas parler, je le sentais. Je n'osais pas l'approcher, de peur de la brusquer. C'était le première fois que je la voyais ainsi. Perdue, je me mis à pleurer aussi. Je ne comprenais pas ce qu'il se passait. « Maman ! Qu'est-ce qu'il y a ? » Elle hurlait de douleur. J'avais beau chercher une quelconque trace de sang sur son corps, je ne vis rien. Son mal-être devait donc être lié au domaine du psychologique. « MAIS REPONDS-MOI, MERDE ! » Je ne me contrôlais plus, la peur avait pris possession de mon corps. Les larmes ne cessaient de couler sur mon visage. Je ne l'avais jamais vue pleurer. Jamais. Ne supportant plus la situation, je quittai ma chambre, puis la maison. Dans la rue, j'aperçus des voisins. Ils avaient ce regard plein de pitié qu'on a pour les gens pauvres ou handicapés. Qu'avait-il bien pu se passer pour que ma mère se mette dans un état pareil et pour que le voisinage se donne le droit de me reluquer de la sorte ? Je n'étais pas un monstre de foire.